Soucieux de maintenir une transparence pour toutes nos actions, nous souhaitons vous dire quelques mots sur notre vision et nos motivations….
Lida Kypriotou, Présidente d’AGALIA
J’ai eu la chance de connaître de près des personnes qui ayant dédié leur vie à des causes nobles, comme l’environnement ou les enfants, elles arrivent à rendre notre monde meilleur. Je suis convaincue que nous avons le pouvoir, voire le privilège de faire des choix dans nos vies et ainsi de donner du sens à notre existence. Donner du sens, pour moi, c’est offrir, partager, embellir, respecter les droits des êtres vivants, voir le sourire sur le visage des enfants. Ce dernier je l’ai bien vu et ressenti en Inde, où je me suis rendue deux fois pour passer un peu de temps avec les enfants des orphelinats Theotokos et St. Ignatios, que je connais depuis 2012. AGALIA (mot grec qui signifie « étreinte; serrer dans ses bras » en français) a été créée pour apporter de l’aide aux enfants du monde, en commençant par ceux que je considère ma petite famille indienne!

Michael Cressier, Secrétaire d’AGALIA
Comme beaucoup, j’ai découvert la misère qui frappe les enfants de Calcutta grâce à l’action de Mère Teresa. L’envie de s’engager est grande mais c’est difficile de savoir quoi faire. Quand j’ai rencontré Lida, j’ai aimé le côté très terre-à-terre de sa démarche. L’avantage d’évoluer dans une petite structure, même si ça implique que tout est fait avec beaucoup de bonne volonté mais parfois un peu d’amateurisme, c’est que le résultat de l’engagement est concret. Il n’y a pas de charges de personnel, pas de frais de communication, pas de task-force qui planche sur l’optimisation de l’exposition publicitaire puisque pas de publicité. Chaque franc, chaque centime part directement
à l’orphelinat. Et pour citer Mère Teresa justement, il ne s’agit pas de sauver le monde entier, mais commençons déjà par en sauver un, puis un autre, puis un autre. Ce sera toujours ça de gagné.

Olivier Girard, Membre du Comité d’AGALIA
J’ai connu l’orphelinat Theotokos par Lida, et me suis d’abord interrogé sur le prosélytisme de la démarche auprès des enfants: rapidement rassuré, j’ai souhaité contribuer par un soutien à la hauteur de mes moyens, mais régulier. J’ai donc acheté cartes de voeux et calendriers tous les ans, avant de comprendre que la pérennité de l’institution était remise en question par la situation économique mondiale. Il fallait donc passer à la vitesse supérieure. L’idée de s’organiser au sein un collectif rassemblé, mais dynamique et engagé m’a séduit, et j’ai donc décidé de participer à sa mise en place. Après quelques actions mises en oeuvre avec peu de moyens (p. ex. un webinaire de soutien), il apparaît aujourd’hui clairement que l’aide que l’on peut apporter sur place est démesurée par rapport aux efforts qui nous sont demandés. C’est en ce sens que je souhaite développer mon engagement auprès d’Agalia.